$#*! My Dad Says
Les relations conflictuelles entre un fils et son père, un vieux bougre adepte des formules particulièrement salées. Son fils Henry, qui tente de percer en tant qu'écrivain, tient un blog dans lequel il partage ses aventures...
Terminée | Américaine | 21 minutes |
Comédie, Comedy | CBS | 2010 |
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1.08 - Épisode 8
The Manly Thing to Do
Ed's ball-busting Navy buddy Wally comes to stay at the house, and their friendship starts up right where it left off 40 years earlier. But when Wally acts like a bigot towards Ed's housekeeper Tim, he decides to quit.
Diffusion originale : 11 novembre 2010
Diffusion française :
11 novembre 2010
Réalisat.eur.rice.s :
Scénariste.s :
Guest.s :
John Mahoney
,
Tim Bagley
,
Sam Pancake
,
Don Perry
,
Barrett Crake
,
Lee Pitts
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Critique : $#*! My Dad Says 1.01
<strong>Bleep my dad says</strong> tire son inspiration d’un compte Twitter où un jeune homme expose les grandes phrases philosophiques de son père. CBS a tenté avec beaucoup de peine de leurs donner vie.
Episode plus amusant que la moyenne, il revient sur le thème de la virilité, source récurrente de remarques plus ou moins balourdes de la série.
Très vite, l'intrigue se découpe en deux storylines très inégales:
- Vince, Bonnie et Henry héritent d'une histoire très anecdotique, plutôt vulgaire, qui n'amènera que peu de rires et de divertissement, malgré les efforts de Will Sasso, bien plus efficace qu'Henry pour arracher un sourire.
Il est sans nul doute le seul point positif et le seul moteur comique des trois personnages. Le reste est trop grossier et vulgaire pour éprouver la moindre parcelle d’intérêt.
- l'intrigue d'Ed se révélera bien plus intéressante, car elle s'appuie sur sa non-homophobie, une qualité rendant le vieux grincheux plus sympathique. Dès lors que l'histoire s'appuie sur cet aspect positif de son personnage, le spectateur est plus enclin à sourire, même si l'humour de certaines séquences (comme le why MCA) est trop artificiel pour être drôle.
Mais l'humour par rupture (entre armée et chorale gay, ou entre vieillesse et modernité) fonctionne plutôt bien. Ed laisse apparaître une personnalité plus complexe, partagé entre deux époques auxquelles il désire appartenir.
Peut-être la série devrait-elle plus se tourner dans cette direction, celle d'un homme du passé qui vit bien avec son temps, mais avec une point de vue en rupture avec le nôtre.
Bref, un épisode correct, caché par un storyline idiote, prouvant encore une fois que Henry est un personnage qui ne fonctionne pas. On est loin du compte dans un univers où les sitcoms sont habituellement bien mieux construites.